Rp Zoah (chapitre 6)

Citation :

Même aujourd'hui, je me souviens encore des premiers gestes, des premiers pas dans ce qui allait devenir mon futur bunker... J'ai parcouru avec fébrilité les différentes pièces et je faisais un rapide inventaire de ce que je découvrais à chaque pas. Les murs gris et froids, les consoles servant à la programmation automatique, le fameux caisson.. Tout m'intriguait au possible et faisait naitre en moi une grande soif de savoir !

La cuisine et son stockeur de ration me surprenait, le distributeur de coffee booster m'enchantait (malgré son goût plutôt amer la première fois!). Je compris ensuite que le caisson me permettait de faire un scanner de mon corps et de guérir n'importe quelle blessure! Quant à l'analyseur de météo, j'étais.. tout simplement époustouflé devant cette technologie !

Le nombre de témis (unité martienne) investis dans ce concentré de technologie m'effarait et me grisait à la fois...

Puis vint le moment que je sentais unique dans l'esprit de tout terraformeur... La première sortie à l'extérieur. Je mis tout d'abord plusieurs heures à observer, analyser, disséquer mentalement ma combinaison de survie. Il ne fallait pas commettre d'erreurs et elle me semblait pourtant si légère! Comment allait-elle me protéger du climat hostile de Mars ? Un mode d'emploi indiquait une capacité de 30 minutes.. Si peu...

Je chassais ces peurs de mon esprit et pris mon courage à de mains. D'autant que je commençais à ressentir les effets du coffee booser. Je me sentais fébrile et prêt à déplacer des montagnes! Je m'habillais en hâte, chargeant le scaphandre en oxygène et prenant au passage ma pelle.

Une fois vêtu, le sas de sortie s’ouvrit pour me dévoiler un spectacle magnifique : le ciel rougeoyant de Mars. Je ne saurais vous décrire l’émotion qui m’a parcouru en cet instant, lorsque j’ai vu ce ciel rouge de poussière, cet horizon qui s’étendait à l’infini sur le désert martien. Ce même désert battu par les vents me remplissait d'allégresse et de tristesse à la fois.

J'observais mon environnement plus que je ne creusais, et la limite de mon scaphandre fut très vite atteinte. Mais qu'importe, il suffisait de revenir au bunker et de sortir à nouveau. J'avais toute une vie pour explorer les mystères de Mars la Rouge !

Zoah a écrit:

Citation :

Même aujourd'hui, je me souviens encore des premiers gestes, des premiers pas dans ce qui allait devenir mon futur bunker... J'ai parcouru avec fébrilité les différentes pièces et je faisais un rapide inventaire de ce que je découvrais à chaque pas. Les murs gris et froids, les consoles servant à la programmation automatique, le fameux caisson.. Tout m'intriguait au possible et faisait naître en moi une grande soif de savoir !

La cuisine et son stockeur de ration me surprenait, le distributeur de coffee booster m'enchantait (malgré son goût plutôt amer la première fois!). Je compris ensuite que le caisson me permettait de faire un scanner de mon corps et de guérir n'importe quelle blessure! Quant à l'analyseur de (programmateur ?) météo, j'étais.. tout simplement époustouflé devant cette technologie !

Le nombre de témis (unité martienne) investis dans ce concentré de technologie m'effarait et me grisait à la fois...

Puis vint le moment que je sentais unique dans l'esprit de tout terraformeur... La première sortie à l'extérieur. Je mis tout d'abord plusieurs heures à observer, analyser, disséquer mentalement ma combinaison de survie. Il ne fallait pas commettre d'erreurs et elle me semblait pourtant si légère! Comment allait-elle me protéger du climat hostile de Mars ? Un mode d'emploi indiquait une capacité de 30 minutes.. Si peu...

Je chassais ces peurs de mon esprit et pris mon courage à deux mains. D'autant que je commençais à ressentir les effets du coffee booster. Je me sentais fébrile et prêt à déplacer des montagnes! Je m'habillais en hâte, chargeant le scaphandre en oxygène et prenant au passage ma pelle.

Une fois vêtu, le sas de sortie s’ouvrit pour me dévoiler un spectacle magnifique : le ciel rougeoyant de Mars. Je ne saurais vous décrire l’émotion qui m’a parcouru en cet instant, lorsque j’ai vu ce ciel rouge de poussière, cet horizon qui s’étendait à l’infini sur le désert martien. Ce même désert battu par les vents me remplissait d'allégresse et de tristesse à la fois.

J'observais mon environnement plus que je ne creusais, et la limite de mon scaphandre fut très vite atteinte. Mais qu'importe, il suffisait de revenir au bunker et de sortir à nouveau. J'avais toute une vie pour explorer les mystères de Mars la Rouge !

1ère

Tanael a écrit:

Même aujourd'hui, je me souviens encore des premiers gestes, des premiers pas dans ce qui allait devenir mon futur bunker... J'ai parcouru avec fébrilité les différentes pièces et je faisais un rapide inventaire de ce que je découvrais à chaque pas. Les murs gris et froids, les consoles servant à la programmation automatique, le fameux caisson... Tout m'intriguait au possible et faisait naître en moi une grande soif de savoir !

La cuisine et son stockeur de ration me surprenait, le distributeur de coffee booster m'enchantait (malgré son goût plutôt amer la première fois !). Je compris ensuite que le caisson me permettait de faire un scanner de mon corps et de guérir n'importe quelle blessure ! Quant à l'analyseur de (programmateur ?) météo, j'étais... tout simplement époustouflé devant cette technologie !

Le nombre de témis (unité martienne) investis dans ce concentré de technologie m'effarait et me grisait à la fois...

Puis vint le moment que je sentais unique dans l'esprit de tout terraformeur... La première sortie à l'extérieur. Je mis tout d'abord plusieurs heures à observer, analyser, disséquer mentalement ma combinaison de survie. Il ne fallait pas commettre d'erreurs et elle me semblait pourtant si légère ! Comment allait-elle me protéger du climat hostile de Mars ? Un mode d'emploi indiquait une capacité de 30 minutes... Si peu...

Je chassais ces peurs de mon esprit et pris mon courage à deux mains. D'autant que je commençais à ressentir les effets du coffee booster. Je me sentais fébrile et prêt à déplacer des montagnes ! Je m'habillais en hâte, chargeant le scaphandre en oxygène et prenant au passage ma pelle.

Une fois vêtu, le sas de sortie s’ouvrit pour me dévoiler un spectacle magnifique : le ciel rougeoyant de Mars. Je ne saurais vous décrire l’émotion qui m’a parcouru en cet instant, lorsque j’ai vu ce ciel rouge de poussière, cet horizon qui s’étendait à l’infini sur le désert martien. Ce même désert battu par les vents me remplissait d'allégresse et de tristesse à la fois.

J'observais mon environnement plus que je ne creusais, et la limite de mon scaphandre fut très vite atteinte. Mais qu'importe, il suffisait de revenir au bunker et de sortir à nouveau. J'avais toute une vie pour explorer les mystères de Mars la Rouge !

Pas grand chose à rajouter, à part quelques trucs sur la ponctuation : les points de suspension vont par 3, et il y a un espace, normalement, avant les points d'exclamation.

A part ces détails, donc, rien.