Zoah
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| Sujet: RP Zoah(Chapitre 4) Mar 26 Aoû - 13:03 | |
| Ma première désillusion fut la vue de la navette.
Loin d’être le modèle terrien de base d’avant-guerre, celle-ci semblait tout droit sortie d’un atelier des bas-quartiers, et remise « à neuf » par un mécanicien fou. Ou bien débutant. Voire même les deux... Je remarquais ça et là des petits trous dû probablement aux micro-météorites, des tôles rafistolées à la va-vite le tout rongé par la rouille. Dans quelle galère m'étais-je embarqué??
Des consignes nous furent données par un leader présent sur place : le voyage allait durer 2 mois. Nous serions 20 par pièces (chaque navette en contient 3). En tout, trois navettes partiront pour Mars, ce qui me faisait étrangement penser à cette légende apprise dans un mémorial terrestre (une histoire fantasque de 3 vaisseaux spatiaux, qui sont partis à la découverte d’une nouvelle planète et qui pour finir ne sont jamais revenus, d’après cette version).
La nourriture sera composée de rations alimentaires de combat et les chambres seront, pour des raisons évidentes de budgets, mixtes. Les yeux de plusieurs hommes s'allumèrent d’une lueur malsaine. Le nombre de femme en partance étaient risible et je commençait à craindre pour ma vie, quand le leader ajouta que les « meurtres et abus de toutes sortes » n’était pas tolérés.
Il évoqua ensuite la punition dont était passible le fou qui désobéirait... le « dallage »
Le coupable serait soudé avec son scaphandre à une dalle de métal et envoyé dans l’espace avec une quantité (très) limitée d’oxygène… C'est dans une ambiance très tendue que se fit la distribution de nos cartes d'embarquements. Ainsi commença le voyage.
Hrp Ce dont j'ai peur, c'est de ne pas placer les bon temps verbaux... Entre passé composé et passé simple, je galère un peu -_-' | |
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Absurd_Jedi Admin
Nombre de messages : 1340 Age : 39 Localisation : Pouyouland Date d'inscription : 10/06/2007
| Sujet: Re: RP Zoah(Chapitre 4) Mar 26 Aoû - 15:45 | |
| - Zoah a écrit:
- Ma première désillusion fut la vue de la navette.
Loin d’être le modèle terrien de base d’avant-guerre, celle-ci semblait tout droit sortie d’un atelier des bas-quartiers, et remise « à neuf » par un mécanicien fou. Ou bien débutant. Voire même les deux... Je remarquais ça et là des petits trous dûs probablement aux micro-météorites, des tôles rafistolées à la va-vite le tout rongé par la rouille. Dans quelle galère m'étais-je embarqué ??
Des consignes nous furent données par un leader présent sur place : le voyage allait durer 2 mois. Nous serions 20 par pièces (chaque navette en contient 3). En tout, trois navettes partiront pour Mars, ce qui me faisait étrangement penser à cette légende apprise dans un mémorial terrestre (une histoire fantasque de 3 vaisseaux spatiaux, qui sont partis à la découverte d’une nouvelle planète et qui pour finir ne sont jamais revenus, d’après cette version).
La nourriture sera composée de rations alimentaires de combat et les chambres seront, pour des raisons évidentes de budgets, mixtes. Les yeux de plusieurs hommes s'allumèrent d’une lueur malsaine. Le nombre de femmes en partance était risible et je commençais à craindre pour ma vie, quand le leader ajouta que les « meurtres et abus de toutes sortes » n’étaient pas tolérés.
Il évoqua ensuite la punition dont était passible le fou qui désobéirait... le « dallage »
Le coupable serait soudé avec son scaphandre à une dalle de métal et envoyé dans l’espace avec une quantité (très) limitée d’oxygène… C'est dans une ambiance très tendue que se fit la distribution de nos cartes d'embarquement. Ainsi commença le voyage. En ce qui concerne la cohérence des temps : j'ai pas vu de problèmes particuliers. Ce qu'il faut savoir : quand le texte est au présent, le passé composé peut servir à exprimer le passé. Quand il est au passé, on utilisera plutôt imparfait / passé simple / plus que parfait, sans faire appel au passé composé. De toute manière, le passé composé, en règle générale, est à éviter dans les récits : c'est un temps qui est plus utilisé à l'oral, par opposition au passé simple qui est lui quasiment réservé à l'écrit. | |
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