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 Gros pavay à corriger.. merci par avance

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adanedhe
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MessageSujet: Gros pavay à corriger.. merci par avance   Gros pavay à corriger.. merci par avance EmptyVen 30 Nov - 17:19

Intermède.

Je me trouvais seul en haut de la colline surplombant son bunker. A coté de moi, mon canon gauss que je venais de bricoler dans l’attente de la future tempête qui marquerait la genèse des travaux sur les myomères. En face, loin sur l’horizon, la masse écrasante du soleil s’effondrait pour céder la place à la nuit et à mes angoisses. Un vent glacial balayait les terres alentours mais, perdu dans mes pensées, je n’y prêtais aucune attention. J’étais troublé, profondément troublé même. J’étais sur le point d’aider à construire ce que j’avais passé des années à chasser et à réformer. Je songeais à ma mission sur Mars, à ma complicité naissante avec un androïde alors que je devrais en être à haïr ces mécaniques plus parfaites que les êtres humains. Mais peut être aussi que cet androïde serait mon allier le plus sûr dans ce que allais devoir accomplir et ce justement parce que j’étais sûr de sa nature. Mais après ce qui s’était passé il y a un peu plus d’un an maintenant comment concilier tout cela.

* Flashback : au revoir Raymond *

Le couloir restait étrangement silencieux. Penché sur mon terminal, je m’échinais à pénétrer le système de défense de la mine pour enfin accéder aux plans qui nous permettraient d’atteindre le centre névralgique de supervision. Derrière moi, sécurisant le couloir, Raymond gardait l’œil rivé sur les moniteurs de détection de mouvement, de scan multi-spectres ainsi que sur les graphes d’assistance tactiques qui calculait en temps réel une voie d’échappement et de progression dans ce dédale minier.
Tout avait commencé il y a une huitaine de jours. Ce complexe minier de la ceinture orbitale saturnienne avait rencontré un incident plutôt singulier. Cette mine fonctionnait sur un mode mixte d’exploitation a la fois robotisé et par des mineurs humains. Lors d’un quart, un mineur passablement énervé avait balancé sa foreuse au sol. Celle-ci glissa bascula du surplomb où l’employé se trouvait pour finalement se ficher dans le centre neuromoteur d’un robot de terrassement. L’ordinateur central pilotant l’exploitation considéra cet incident comme une agression patente et bascula en mode defcon 2. Ce mode permettait de protéger la mine contre un éventuel pillage de pirates en utilisant les robots minier pour verrouiller toute circulation humaine en attendant le passage de la sécurité ou de la SecInt. Les tensions sociales au sein du personnel ne résistèrent pas à ce blocage et des mouvements d’humeur amenèrent à deux autres destructions ou endommagements de robots. Ceci eu pour effet de basculer l’exploitation en Defcon1 : agression de pillards caractérisée. Le personnel est considéré comme perdu. L’ensemble des robots ont alors pour tâche de détruire toute forme de vie. Pour renfort, la mine dispose de quatre-vingts veuves noires. Ces hexapodes ultrarapides embarquent en leur centre un saturateur permettant des cadences de tir effarantes qui en une rafale vous coupe un homme en deux aussi surement qu’avec une lame.
Un gros tiers du personnel minier pu sortir des conduits et se réfugier dans les locaux d’habitation où ils s’étaient barricadés. Cet acte leur donnait juste le répit pour appeler de l’aide en ayant la certitude que les robots miniers tentaient de pénétrer le centre de vie pour finir d’exécuter leur objectif.
C’est a cette occasion que je fus appelé par la Norcom, société d’exploitation minière orbitale qui possédait cette concession pour tenter d’arrêter les robots et repasser la mine en mode production au plus vite.
Nous devions fonctionner en binômes, nous relayant dans les conduits pour neutraliser au fur et à mesure les robots (sans les abîmer). Le premier binôme se fit exterminer après douze minutes dans les boyaux de la mine. Fauchés tout deux par un feux croisé de trois veuves noires.
Dès lors, nos objectifs à Raymond et moi-même changèrent du tout au tout. Il n’était plus question de préserver les robots mais bien de survivre et neutraliser toute l’exploitation avant qu’elle nous annihile. Nous n’avions plus les moyens de partir, la Norcom refusant de ravitailler notre vaisseau tant que le contrat n’était pas rempli.
Raymond. Ah Raymond. Ne vous y trompez pas, Raymond était la plus belle femme que j’ai jamais rencontrée. Son sourire était un vrai rayon de soleil. Je l’aimais tant.
Son sourire avait totalement disparu quand les premiers points signalant l’arrivée de veuves noires s’affichèrent sur ses moniteurs. Je n’avais toujours pas réussi à pénétrer le système, me heurtant a plusieurs algorithmes de protection de tout premier ordre. La Norcom n’avait pas lésiné et je ne comprenais toujours pas qu’elle ait refusé de nous communiquer les codes pour raison de confidentialité sur des éléments vitaux de la mine. Nous possédions bien plusieurs grenades électroblast et deux canon gauss permettant de neutraliser toute électronique dans un rayon de cent cinquante mètres. Mais tant que je ne savais pas où nous devions aller, nous ne pouvions pas les utiliser.
« ada, bouge toi mon chou, ces saletés se rapprochent beaucoup trop vite à mon gout. Leurs senseurs thermiques ont du nous localiser. A moins qu’elles ne s’appuient sur ta tentative d’intrusion pour rallier le terminal incriminé.
-Je sais ma puce. Mais ces tarés ont du sombrer dans la parano maladive quand ils ont sécurisé la mine. J’en suis a trois barrières passées et je n’ai pas idée de combien il en reste.
-Ben bouge toi, parce que je nous donne en l’état un peu moins de trois minutes d’espérance de vie. »
Je transpirais abondamment sous la concentration, mes mains courant sur le clavier cherchant le bon algorithme de craquage. Plusieurs claquements me firent sursauter. Raymond lâchait ses premières balles explosives sur la première veuve noire qui se présentait à l’angle de la jonction.
« Ada par pitié.. Elles sont sur nous !!! »
Enfin de perçait le dernier rempart du système. Il me fallait encore quinze secondes pour télécharger les plans de la mine et la localisation du nexus central dans mon terminal blindé qui résisterait à la tempête électromagnétique qu’on allait déclencher.
« On y est presque raym, je prépare une électroblast pour la zone avant, toi tu balances derrière. Huit secondes avant top. »
Le bruit mat d’une rafale de saturateur retenti soudain derrière nous. La trappe d’accès dans mon dos tinta et frappa violement dans mon dos. Je vis le regard de Raymond s’exorbiter, puis devenir vitreux pendant que, dans un temps qui me sembla infini son corps s’affalait sur le sol froid de la mine.
« Ramooooond !! nooooon ! »
Dans sa chute, elle trouva la force de relâcher sa grenade dégoupillée. C’est sans doute ce qui me sembla la vie tandis qu’une deuxième puis une troisième veuve noire franchissait le coude à cinquante mètres de nous.
La déflagration ne se fit pas attendre, libérant dans la zone suffisamment de charges pour paralyser plusieurs heures même des circuits de classe 0.
Je suppose que le choc de la trappe me fit perdre connaissance quelques minutes, a moins que ce ne soit la douleur de la perte de Raymond qui me laissa inerte sur le sol. Cela me submergea un moment, mais, petit à petit cela fit place à une rage froide qui m’amenait à négliger ma protection pour détruire la chose qui avait réduit ma raison d’être à une bouillie de chair et de sang effondrée sur un sol miteux d’une mine du bout de nulle part. J’aurais le peau du nexus, après je pourrais mourir.
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Absurd_Jedi
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MessageSujet: Re: Gros pavay à corriger.. merci par avance   Gros pavay à corriger.. merci par avance EmptyVen 30 Nov - 21:35

Correction :

Intermède.

Je me trouvais seul en haut de la colline surplombant son bunker. A côté de moi, mon canon gauss que je venais de bricoler dans l’attente de la future tempête qui marquerait la genèse des travaux sur les myomères. En face, loin sur l’horizon, la masse écrasante du soleil s’effondrait pour céder la place à la nuit et à mes angoisses. Un vent glacial balayait les terres alentours mais, perdu dans mes pensées, je n’y prêtais aucune attention. J’étais troublé, profondément troublé même. J’étais sur le point d’aider à construire ce que j’avais passé des années à chasser et à réformer. Je songeais à ma mission sur Mars, à ma complicité naissante avec un androïde alors que je devrais en être à haïr ces mécaniques plus parfaites que les êtres humains. Mais peut être aussi que cet androïde serait mon allié le plus sûr dans ce que j'allais devoir accomplir et ce justement parce que j’étais sûr de sa nature. Mais après ce qui s’était passé il y a un peu plus d’un an maintenant comment concilier tout cela.

* Flashback : au revoir Raymond *

Le couloir restait étrangement silencieux. Penché sur mon terminal, je m’échinais à pénétrer le système de défense de la mine pour enfin accéder aux plans qui nous permettraient d’atteindre le centre névralgique de supervision. Derrière moi, sécurisant le couloir, Raymond gardait l’œil rivé sur les moniteurs de détection de mouvement, de scan multi-spectres ainsi que sur les graphes d’assistance tactiques qui calculaient en temps réel une voie d’échappement et de progression dans ce dédale minier.
Tout avait commencé il y avait une huitaine de jours. Ce complexe minier de la ceinture orbitale saturnienne avait rencontré un incident plutôt singulier. Cette mine fonctionnait sur un mode mixte d’exploitation a la fois robotisé et par des mineurs humains. Lors d’un quart, un mineur passablement énervé avait balancé sa foreuse au sol. Celle-ci glissa bascula du surplomb où l’employé se trouvait pour finalement se ficher dans le centre neuromoteur d’un robot de terrassement. L’ordinateur central pilotant l’exploitation considéra cet incident comme une agression patente et bascula en mode defcon 2. Ce mode permettait de protéger la mine contre un éventuel pillage de pirates en utilisant les robots miniers pour verrouiller toute circulation humaine en attendant le passage de la sécurité ou de la SecInt. Les tensions sociales au sein du personnel ne résistèrent pas à ce blocage et des mouvements d’humeur amenèrent à deux autres destructions ou endommagements de robots. Ceci eut pour effet de basculer l’exploitation en Defcon1 : agression de pillards caractérisée. Le personnel est considéré comme perdu. L’ensemble des robots ont alors pour tâche de détruire toute forme de vie. Pour renfort, la mine dispose de quatre-vingts veuves noires. Ces hexapodes ultrarapides embarquent en leur centre un saturateur permettant des cadences de tir effarantes qui en une rafale vous coupe un homme en deux aussi sûrement qu’avec une lame.
Un gros tiers du personnel minier put sortir des conduits et se réfugier dans les locaux d’habitation où ils s’étaient barricadés. Cet acte leur donnait juste le répit pour appeler de l’aide en ayant la certitude que les robots miniers tentaient de pénétrer le centre de vie pour finir d’exécuter leur objectif.
C’est a cette occasion que je fus appelé par la Norcom, société d’exploitation minière orbitale qui possédait cette concession pour tenter d’arrêter les robots et repasser la mine en mode production au plus vite.
Nous devions fonctionner en binômes, nous relayant dans les conduits pour neutraliser au fur et à mesure les robots (sans les abîmer). Le premier binôme se fit exterminer après douze minutes dans les boyaux de la mine. Fauchés tous deux par un feux croisé de trois veuves noires.
Dès lors, nos objectifs à Raymond et moi-même changèrent du tout au tout. Il n’était plus question de préserver les robots mais bien de survivre et neutraliser toute l’exploitation avant qu’elle nous annihile. Nous n’avions plus les moyens de partir, la Norcom refusant de ravitailler notre vaisseau tant que le contrat n’était pas rempli.
Raymond. Ah Raymond. Ne vous y trompez pas, Raymond était la plus belle femme que j’ai jamais rencontrée. Son sourire était un vrai rayon de soleil. Je l’aimais tant.
Son sourire avait totalement disparu quand les premiers points signalant l’arrivée de veuves noires s’affichèrent sur ses moniteurs. Je n’avais toujours pas réussi à pénétrer le système, me heurtant à plusieurs algorithmes de protection de tout premier ordre. La Norcom n’avait pas lésiné et je ne comprenais toujours pas qu’elle ait refusé de nous communiquer les codes pour raison de confidentialité sur des éléments vitaux de la mine. Nous possédions bien plusieurs grenades électroblast et deux canon gauss permettant de neutraliser toute électronique dans un rayon de cent cinquante mètres. Mais tant que je ne savais pas où nous devions aller, nous ne pouvions pas les utiliser.
« Ada, bouge toi mon chou, ces saletés se rapprochent beaucoup trop vite à mon gout. Leurs senseurs thermiques ont du nous localiser. A moins qu’elles ne s’appuient sur ta tentative d’intrusion pour rallier le terminal incriminé.
-Je sais ma puce. Mais ces tarés ont du sombrer dans la parano maladive quand ils ont sécurisé la mine. J’en suis a trois barrières passées et je n’ai pas idée de combien il en reste.
-Ben bouge toi, parce que je nous donne en l’état un peu moins de trois minutes d’espérance de vie. »
Je transpirais abondamment sous la concentration, mes mains courant sur le clavier cherchant le bon algorithme de craquage. Plusieurs claquements me firent sursauter. Raymond lâchait ses premières balles explosives sur la première veuve noire qui se présentait à l’angle de la jonction.
« Ada par pitié.. Elles sont sur nous !!! »
Enfin de perçait le dernier rempart du système. Il me fallait encore quinze secondes pour télécharger les plans de la mine et la localisation du nexus central dans mon terminal blindé qui résisterait à la tempête électromagnétique qu’on allait déclencher.
« On y est presque raym, je prépare une électroblast pour la zone avant, toi tu balances derrière. Huit secondes avant top. »
Le bruit mat d’une rafale de saturateur retenti soudain derrière nous. La trappe d’accès dans mon dos tinta et frappa violement dans mon dos. Je vis le regard de Raymond s’exorbiter, puis devenir vitreux pendant que, dans un temps qui me sembla infini son corps s’affalait sur le sol froid de la mine.
« Ramooooond !! nooooon ! »
Dans sa chute, elle trouva la force de relâcher sa grenade dégoupillée. C’est sans doute ce qui me sauva la vie tandis qu’une deuxième puis une troisième veuve noire franchissaient le coude à cinquante mètres de nous.
La déflagration ne se fit pas attendre, libérant dans la zone suffisamment de charges pour paralyser plusieurs heures même des circuits de classe 0.
Je suppose que le choc de la trappe me fit perdre connaissance quelques minutes, a moins que ce ne soit la douleur de la perte de Raymond qui me laissa inerte sur le sol. Cela me submergea un moment, mais, petit à petit cela fit place à une rage froide qui m’amenait à négliger ma protection pour détruire la chose qui avait réduit ma raison d’être à une bouillie de chair et de sang effondrée sur un sol miteux d’une mine du bout de nulle part. J’aurais le peau du nexus, après je pourrais mourir.
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Lookinzeman

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MessageSujet: Re: Gros pavay à corriger.. merci par avance   Gros pavay à corriger.. merci par avance EmptySam 1 Déc - 22:32

Absurd_Jedi a écrit:
Correction :

Intermède.

Je me trouvais seul en haut de la colline surplombant son bunker. A côté de moi, mon canon gauss que je venais de bricoler dans l’attente de la future tempête qui marquerait la genèse des travaux sur les myomères. En face, loin sur l’horizon, la masse écrasante du soleil s’effondrait pour céder la place à la nuit et à mes angoisses. Un vent glacial balayait les terres alentours mais, perdu dans mes pensées, je n’y prêtais aucune attention. J’étais troublé, profondément troublé même. J’étais sur le point d’aider à construire ce que j’avais passé des années à chasser et à réformer. Je songeais à ma mission sur Mars, à ma complicité naissante avec un androïde alors que je devrais en être à haïr ces mécaniques plus parfaites que les êtres humains. Mais peut être aussi que cet androïde serait mon allié le plus sûr dans ce que j'allais devoir accomplir et ce justement parce que j’étais sûr de sa nature. Mais après ce qui s’était passé il y a un peu plus d’un an maintenant comment concilier tout cela.

* Flashback : au revoir Raymond *

Le couloir restait étrangement silencieux. Penché sur mon terminal, je m’échinais à pénétrer le système de défense de la mine pour enfin accéder aux plans qui nous permettraient d’atteindre le centre névralgique de supervision. Derrière moi, sécurisant le couloir, Raymond gardait l’œil rivé sur les moniteurs de détection de mouvement, de scan multi-spectres ainsi que sur les graphes d’assistance tactiques qui calculaient en temps réel une voie d’échappement et de progression dans ce dédale minier.
Tout avait commencé il y avait une huitaine de jours. Ce complexe minier de la ceinture orbitale saturnienne avait rencontré un incident plutôt singulier. Cette mine fonctionnait sur un mode mixte d’exploitation à la fois robotisée et par des mineurs humains. Lors d’un quart, un mineur passablement énervé avait balancé sa foreuse au sol. Celle-ci glissa bascula du surplomb où l’employé se trouvait pour finalement se ficher dans le centre neuromoteur d’un robot de terrassement. L’ordinateur central pilotant l’exploitation considéra cet incident comme une agression patente et bascula en mode defcon 2. Ce mode permettait de protéger la mine contre un éventuel pillage de pirates en utilisant les robots miniers pour verrouiller toute circulation humaine en attendant le passage de la sécurité ou de la SecInt. Les tensions sociales au sein du personnel ne résistèrent pas à ce blocage et des mouvements d’humeur amenèrent à deux autres destructions ou endommagements de robots. Ceci eut pour effet de basculer l’exploitation en Defcon1 : agression de pillards caractérisée. Le personnel est considéré comme perdu. L’ensemble des robots ont alors pour tâche de détruire toute forme de vie. Pour renfort, la mine dispose de quatre-vingts veuves noires. Ces hexapodes ultrarapides embarquent en leur centre un saturateur permettant des cadences de tir effarantes qui en une rafale vous coupe un homme en deux aussi sûrement qu’avec une lame.
Un gros tiers du personnel minier put sortir des conduits et se réfugier dans les locaux d’habitation où ils s’étaient barricadés. Cet acte leur donnait juste le répit pour appeler de l’aide en ayant la certitude que les robots miniers tentaient de pénétrer le centre de vie pour finir d’exécuter leur objectif.
C’est à cette occasion que je fus appelé par la Norcom, société d’exploitation minière orbitale qui possédait cette concession, pour tenter d’arrêter les robots et repasser la mine en mode production au plus vite.
Nous devions fonctionner en binômes, nous relayant dans les conduits pour neutraliser au fur et à mesure les robots (sans les abîmer). Le premier binôme se fit exterminer après douze minutes dans les boyaux de la mine. Fauchés tous deux par un feux croisé de trois veuves noires.
Dès lors, nos objectifs à Raymond et moi-même changèrent du tout au tout. Il n’était plus question de préserver les robots mais bien de survivre et neutraliser toute l’exploitation avant qu’elle ne nous annihile. Nous n’avions plus les moyens de partir, la Norcom refusant de ravitailler notre vaisseau tant que le contrat n’était pas rempli.
Raymond. Ah Raymond. Ne vous y trompez pas, Raymond était la plus belle femme que j’ai jamais rencontrée. Son sourire était un vrai rayon de soleil. Je l’aimais tant.
Son sourire avait totalement disparu quand les premiers points signalant l’arrivée de veuves noires s’affichèrent sur ses moniteurs. Je n’avais toujours pas réussi à pénétrer le système, me heurtant à plusieurs algorithmes de protection de tout premier ordre. La Norcom n’avait pas lésiné et je ne comprenais toujours pas qu’elle ait refusé de nous communiquer les codes pour raison de confidentialité sur des éléments vitaux de la mine. Nous possédions bien plusieurs grenades électroblast et deux canon gauss permettant de neutraliser toute électronique dans un rayon de cent cinquante mètres. Mais tant que je ne savais pas où nous devions aller, nous ne pouvions pas les utiliser.
« Ada, bouge toi mon chou, ces saletés se rapprochent beaucoup trop vite à mon goût. Leurs senseurs thermiques ont dû nous localiser. A moins qu’elles ne s’appuient sur ta tentative d’intrusion pour rallier le terminal incriminé.
-Je sais ma puce. Mais ces tarés ont dû sombrer dans la parano maladive quand ils ont sécurisé la mine. J’en suis a trois barrières passées et je n’ai pas idée de combien il en reste.
-Ben bouge toi, parce que je nous donne en l’état un peu moins de trois minutes d’espérance de vie. »
Je transpirais abondamment sous la concentration, mes mains courant sur le clavier cherchant le bon algorithme de craquage. Plusieurs claquements me firent sursauter. Raymond lâchait ses premières balles explosives sur la première veuve noire qui se présentait à l’angle de la jonction.
« Ada par pitié.. Elles sont sur nous !!! »
Enfin de perçait le dernier rempart du système. Il me fallait encore quinze secondes pour télécharger les plans de la mine et la localisation du nexus central dans mon terminal blindé qui résisterait à la tempête électromagnétique qu’on allait déclencher.
« On y est presque raym, je prépare une électroblast pour la zone avant, toi tu balances derrière. Huit secondes avant top. »
Le bruit mat d’une rafale de saturateur retenti soudain derrière nous. La trappe d’accès dans mon dos tinta et frappa violemment dans mon dos. Je vis le regard de Raymond s’exorbiter, puis devenir vitreux pendant que, dans un temps qui me sembla infini son corps s’affalait sur le sol froid de la mine.
« Ra[y?]mooooond !! nooooon ! »
Dans sa chute, elle trouva la force de relâcher sa grenade dégoupillée. C’est sans doute ce qui me sauva la vie tandis qu’une deuxième puis une troisième veuve noire franchissaient le coude à cinquante mètres de nous.
La déflagration ne se fit pas attendre, libérant dans la zone suffisamment de charges pour paralyser plusieurs heures même des circuits de classe 0.
Je suppose que le choc de la trappe me fit perdre connaissance quelques minutes, à moins que ce ne soit la douleur de la perte de Raymond qui me laissa inerte sur le sol. Cela me submergea un moment, mais, petit à petit cela fit place à une rage froide qui m’amenait à négliger ma protection pour détruire la chose qui avait réduit ma raison d’être à une bouillie de chair et de sang effondrée sur un sol miteux d’une mine du bout de nulle part. J’aurais le peau du nexus, après je pourrais mourir.
désolé c'était en vert donc on voit pas bien, je vais mettre ça en bleu...


Dernière édition par le Dim 2 Déc - 11:30, édité 2 fois
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roxelay

roxelay


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MessageSujet: Re: Gros pavay à corriger.. merci par avance   Gros pavay à corriger.. merci par avance EmptySam 1 Déc - 23:11

Mets en couleur ce que tu modifies sinon ce n'est pas très pratique :aga:
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adanedhe
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MessageSujet: merciii   Gros pavay à corriger.. merci par avance EmptySam 1 Déc - 23:33

on va dire que j'abuse.. mais si on peut mettre les correction en gras et plus colorées.. j'ai eu un mal fou à les repérer.. je suis daltonien et donc un peu handicapé par rapport aux couleurs. Wink
merci beaucoup pour la correction d'un tel pavay.. vous etes chouettes
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